dimanche 2 janvier 2011

Les ancêtres de Patafix! - L'autre grand-père

Patafix! — dont certains m'ont dit qu'elle aurait pu poster quelque chose pour la nouvelle année et à qui je rétorque qu'elle l'a fait par le truchement d'une vidéo postée le 25 décembre et qu'ils n'ont qu'à regarder jusqu'au bout, hein, non mais, bon — est décidément en quête de ses origines ces temps-ci. Fouillant fébrilement une boîte à chausses remplie de photografifilles, notre généalogiste moustachue a retrouvé le portrait son second grand-père, un saltimbanque qui jouait du banjolélé à Boston. Je comprends maintenant l'attirance de Patafix! pour la musique miaulique et les ukulélés.



(Merci de nouveau à Cyril L. pour ce chef-d'œuvre de la photographie féline)

5 commentaires:

molecule a dit…

Pas l'air commode l'ancêtre !

LaPefte a dit…

Bonne année à Pataouette et son Papounet (rien à voir avec la choucroute comme dirait l'autre, mais ça fait toujours plaisir!!)

Antoigne a dit…

Merci pour les voeux!

Pas commode l'ancêtre, normal, fallait se défendre dans le Boston du début de (XXe) siècle !

Cyril a dit…

Pas l'air commode car c'est un chat vivant. Et il n'était pas commode non plus, côté photographe, de réaliser ce genre de cliché avec les appareils à plaque de verre. On utilisait donc le plus souvent des animaux empaillés. Ce qui n'est pas le cas ici, apparemment. Un exploit des deux côtés de la caméra !
Pour l'homme, la génération est en principe fixée à 30 ans ; pour le chat, je ne sais pas, mais elle doit être certainement beaucoup plus courte. Comme Louis De Ribas tenait studio à Boston en 1887, cela fait donc un paquet de générations canines entre l'ancêtre banjoïste et Patafix. Un arbre digne des généalogies maories dont la récitation demandait des heures !

Cyril a dit…

Un paquet de générations félines, bien sûr.
Voilà ce qui arrive quand on écrit à une heure trop tardive.