mercredi 17 mars 2010

Des poils et de la poussière, ou l'inverse.



Il faisait beau et il faisait chaud, alors nous en avons profité pour nous rouler partout où ça roulait, notamment sur le sol du bureau qui n'a pas connu les frotti-frottas de l'aspirateur depuis le néolithique. Et notre pelisse est une référence en matière de production d'électricité statique : nous sommes placée dans le haut de la série triboélectrique, et nous nous en flattons avec jubilation. Du coup, nous ramassons toutes les poussières, ce qui évitera de passer l'aspirateur avant la fin calendrier maya.



5 commentaires:

Anonyme a dit…

Et après ça, on s'étonne qu'elle attrape des maladies de peau du genre teigne ou autre trichophyton. La pauvre petite !

cousin a dit…

Quelque chose me dit que ce commentaire pourrait venir de ma Tante J ?

Antoigne a dit…

La pauvre petite, personne ne lui demande de se rouler par terre. Déjà, si elle avait un peu de dignité, elle ne se promènerait pas à poil dans le bureau.

Soso a dit…

C'est sur le chat qu'il faut passer l'aspirateur ! Enfin, depuis, il a coulé de l'eau sous les ponts et sur les poils je suppose...

Antoigne a dit…

non, c'est comme les rouleaux collants pour les peluches : quand c'est plein, on arrache la première couche.