mercredi 26 mai 2010

mardi 25 mai 2010

Patarrazzix!



Qui dit "saison du lézard", dit "saison de l'orvet", naturellement, puisque l'orvet n'est qu'un lézard que la nature à privé de pattes. Mais pas de queue. Une sorte de lézard cul-de-jatte, mais sans les fers à repasser. Parce que sans bras également. Et pas de bras, pas de chocolat! La seule défense de l'orvet, c'est la constriction de museau, tel un spaghetti vindicatif et trop cuit.
Aujourd'hui, c'est à une séance de paparazzade (entendez : de mauvaises photos prises de très loin) que vous convie le Patablog.



Et Gribit vous demandez-vous ? Elle se porte à merveille et fait de longues siestes à l'ombre de son quetschier.

lundi 24 mai 2010

La saison du lézard



Nous étions sortie pour un petit pipi parmi les pâquerettes avant d'aller renifler le tamaris sous lequel est enterrée Lulu Rinpoché, notre prédécesseresse en poils noirs et accidents de voiture.



Mais v'là-t-y pas que, sur notre chemin de retour, une odeur très désagréable fit frémir notre adorable museau : Noisette campait à l'ombre d'un cerisier à deux parcelles de nous. La scène de grognements et d'intimidation par le regard qui s'en suivit fut des plus insupportables.



Ensuite, nous nous sommes vengée sur un lézard à 5 points. La saison du lézard vient juste de débuter, et cette année promet le meilleur, avec des spécimens bien nourris, luisants et vifs comme l'éclair.

dimanche 9 mai 2010

Voleuse!



Patafix! est partie aujourd'hui en vacances chez sa grand-mère, mais avant cela... nous avons eu une voleuse de lilas!
C'était extrêmement contrariant. Comprenez-vous, le lilas du jardin, c'est notre lilas à nous, et le lilas du jardin, il ne pousse qu'une fois par an et en très très petite quantité. Alors quand tante Fofie vient voler notre lilas, Fifille est extrêmement contrariée.



Ce n'est pas normal de voler du lilas. C'est même hautement répréhensible de poinçonner des lilas quand on n'est pas assermenté. Heureusement, il y a une semaine de vacances chez grand-mère pour digérer le forfait. Et puis chez grand-mère, il y a des musaraignes, et les musaraignes, ça change des mulots. C'est bien plus raffiné.