dimanche 26 décembre 2010

Y'a un gros os.



Et si on s'était fourvoyé, hein? Et si Patafix! était un chien et non un chat ? Ou si Fifille se prenait pour un chien, avec toutes les conséquences induites, dédoublement de la personnalité, séances coûteuses chez le psy... et j'en passe (plaintes des voisins pour aboiements nocturnes notamment). Nous avons récemment fait l'acquisition d'un gros nonosse en plastique et Patastrophe ne cesse de lui sauter dessus, de le léchouiller, de le mordre, de râcler les restes fantômes et fantasmés de barbaque et de cartilage. Il nous faudra bientôt la rebaptiser Médor ou Sultan.

samedi 25 décembre 2010

25 cm de plaisir

Pour repas de Noël, j'ai rapporté une crevette à Patafix!. Enfin, quand je dis "une crevette", il faut lire "LA" crevette. Je n'ai pas pris la peine de mesurer précisément le décapode, mais il déclarait sans ciller ses 25 cm au minimum, sans tenir compte des moustaches (pourtant, quand on donne la taille de la tour Eiffel, on inclut les antennes...).

AVANT :




APRES :




ENTRE LES DEUX :



Une mauvaise vidéo valant mieux que de non moins mauvaises photos, je vous laisse juger de l'attaque par vous-même :

lundi 20 décembre 2010

Les ancêtres de Patafix! - Le grand-père ottoman

Vous vous souvenez bien évidemment de la grand-mère de Patafix!, se pelotonnant dans la barbe abondante du vieux pêcheur soljenitsynien (ce post). Eh bien, figurez-vous que Fifille, qui s'affairait au rangement de ses affaires personnelles hier, a retrouvé la photo non moins intéressante de son grand-père, éminent potentat Constantinopolitain, au port de fez élégant. L'album de famille se reconstitue!



(Merci à Cyril L. pour la fourniture de ce bijou ancien!)

vendredi 17 décembre 2010

Grosse activité



Cette nuit, il a beaucoup neigé, et il semble que le jardin ait été le lieu d'une forte activité de ballet et rituels mystérieux. Ce matin, notre zibeline était partagée entre l'idée de rester à l'intérieur pour chauffer ses papattes sur le radiateur et celle de jouer les trappeuses dans la neige, afin de montrer à la concurrence qu'elle ne craignait pas les rigueurs de l'hiver. Finalement, Fifille a timidement tenté une sortie jusqu'au vieux mirabellier.



C'est un peu compliqué de progresser dans la poudreuse quand elle vous arrive jusqu'au bidon. Bon, et une fois au mirabellier, qu'est-ce qu'on fait ? On rentre vite fait se réchauffer au coin du feu en fumant des saumons sauvages.

vendredi 10 décembre 2010

jeudi 9 décembre 2010

Noix de coco au lard

Notre ami GG (le tôlier d'Eliot) nous a fait cadeau d'une rareté : un ancien ukulélé... vosgien! Il a probablement été fabriqué à Mirecourt. Patafix! était très épatée par cet objet moitié terrier de mulot ambulant et moitié poèle à frire les rongeurs. Très rusés les Vosgiens! Fifille a immédiatement regardé dans le trou pour voir si la famille mulot y était. Encore raté!

dimanche 5 décembre 2010

Question purement dominicale



Patafix! est-elle amatrice de tuber mesentericum ? Fifille semble fort troublée par l'arôme puissant des truffes lorraines, aime s'en énivrer mais ne paraît pas apprécier le goût du champignon noir. La configuration est donc idéale pour qu'elle devienne la première chatte truffière du monde. Dès la neige fondue, nous partirons dans les bois faire fortune.

jeudi 2 décembre 2010

Sir Eliot, chat horizontal

Pendant ce temps-là, Sir Eliot s'entraîne à la déambulation horizontale. C'est une étape cruciale avant de pouvoir progresser au plafond et, collatéralement, ça lustre le parquet ciré. Une fois la marche au plafond acquise, Eliot partira en reportage en Australie, voir les chats antipodistes.

La Guerre des nerfs

L'infecte Noisette est encore entrée chez nous ce matin à la fraîche, par la chatière défaillante. Patafix!, qui descendait pour pratiquer une petite vidange matinale de rigueur, s'est retrouvée truffe à truffe avec l'acariâtre harpie à poil long des voisins. S'en sont suivis grognements de sub-woofer et braillements en contre-ut. J'ai bondi hors de ma couche et Noisette a filé. Elle est rentrée chez elle en nous lançant un regard de défi qui présume de suites belliqueuses en plein air à cette altercation en sous-sol.