Patafix! — dont certains m'ont dit qu'elle aurait pu poster quelque chose pour la nouvelle année et à qui je rétorque qu'elle l'a fait par le truchement d'une vidéo postée le 25 décembre et qu'ils n'ont qu'à regarder jusqu'au bout, hein, non mais, bon — est décidément en quête de ses origines ces temps-ci. Fouillant fébrilement une boîte à chausses remplie de photografifilles, notre généalogiste moustachue a retrouvé le portrait son second grand-père, un saltimbanque qui jouait du banjolélé à Boston. Je comprends maintenant l'attirance de Patafix! pour la musique miaulique et les ukulélés.
(Merci de nouveau à Cyril L. pour ce chef-d'œuvre de la photographie féline)
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5 commentaires:
Pas l'air commode l'ancêtre !
Bonne année à Pataouette et son Papounet (rien à voir avec la choucroute comme dirait l'autre, mais ça fait toujours plaisir!!)
Merci pour les voeux!
Pas commode l'ancêtre, normal, fallait se défendre dans le Boston du début de (XXe) siècle !
Pas l'air commode car c'est un chat vivant. Et il n'était pas commode non plus, côté photographe, de réaliser ce genre de cliché avec les appareils à plaque de verre. On utilisait donc le plus souvent des animaux empaillés. Ce qui n'est pas le cas ici, apparemment. Un exploit des deux côtés de la caméra !
Pour l'homme, la génération est en principe fixée à 30 ans ; pour le chat, je ne sais pas, mais elle doit être certainement beaucoup plus courte. Comme Louis De Ribas tenait studio à Boston en 1887, cela fait donc un paquet de générations canines entre l'ancêtre banjoïste et Patafix. Un arbre digne des généalogies maories dont la récitation demandait des heures !
Un paquet de générations félines, bien sûr.
Voilà ce qui arrive quand on écrit à une heure trop tardive.
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